Comment se présente le syndrome d’Asperger ?

Les personnes atteintes par cette maladie n’arrivent pas entrer en phase avec ce qui les entoure. Elles ont ainsi des difficultés à comprendre les signaux non verbaux et n’arrivent pas à communiquer facilement. Cette forme d’autisme n’entraîne pas de retard mental. Une personne atteinte du syndrome d’Asperger peut très bien avoir un vocabulaire bien élaboré, mais elle n’en comprendra pas tous les sens. Elle peut par exemple ne pas comprendre les blagues ou les sous-entendus. Une grande capacité à se concentrer sur les détails est aussi une conséquence de ce trouble.

Comment le diagnostiquer ?

Actuellement, les chercheurs n’ont identifié que la génétique comme étant la principale origine de ce syndrome. Il est malgré tout admis que la génétique à elle seule ne peut pas expliquer ce trouble. Lorsque les chercheurs auront plus de pistes, il sera certainement plus facile de prévoir l’apparition de cette maladie. Pour l’instant, repérer le trouble d’Asperger chez une personne n’est pas simple puisque c’est une pathologie qui n’implique pas forcément de retard mental. Le trouble ne sera repéré qu’à l’aide d’une analyse de comportement. La difficulté à communiquer entraînant un isolement est alors le premier indice.

Quelles sont les prises en charge requises ?

Il n’existe pas de traitement permettant de soigner les troubles autistiques. Les prises en charge en vue d’améliorer la situation sociale des patients sont les seules solutions possibles. Généralement, une personne atteinte du syndrome d’Asperger est solitaire. Il est alors nécessaire de la convaincre de sortir de son isolement et d’avoir plus d’interactions sociales. Pour aider le patient, plusieurs programmes peuvent lui être proposés. Ces programmes peuvent comporter des séances d’ergothérapie et d’orthophonie, une thérapie comportementale et cognitive, etc.

L’eczéma atopique

Encore appelée dermatite atopique, ce type d’eczéma peut toucher principalement les nourrissons et les enfants. Il se termine le plus souvent à l’adolescence. Certains patients peuvent quand même en souffrir à l’âge adulte.

Ses causes

L’eczéma est une maladie génétique liée à un dysfonctionnement du système immunitaire. Celui-ci devient alors hyper-réactif.

La peau, plus poreuse, ne remplit plus sa fonction quand elle est affectée par la dermatite atopique. Elle devient irritante et s’enflamme au contact de certains produits agressifs, en réponse à la chaleur, au grattage et au stress.

Ses manifestations

L’eczéma atopique se manifeste au début par la sécheresse de la peau. Celle-ci démange intensément. Quand on gratte la partie touchée par la dermatite atopique, une plaque rouge s’y forme. C’est une inflammation qui peut suinter et s’épaissir. Un cycle prend place à ce stade-là si aucun traitement n’a été suivi : démangeaisons, grattage, lésions.

Chez l’adulte, cette dermatose atopique peut s’aggraver. L’eczéma devient chronique. Dans ce cas, le suintement peut s’infecter. Les croûtes jaunissent et sont plus douloureuses. Des lichens peuvent également s’y former. Des poussées aiguës vésiculeuses ou suintantes suivent les brèves périodes de rémission. Les démangeaisons intenses peuvent à la longue retentir sur la vie quotidienne du patient. Elles peuvent perturber son sommeil, son moral et ses activités.

Les traitements de la dermatite atopique

Généralement, le traitement de l’eczéma atopique est fait de deux produits : l’un est un anti-inflammatoire de la famille des corticoïdes, et l’autre est un émollient. Le premier permet de calmer les poussées. Le second, que vous pouvez trouver sur https://www.laroche-posay.fr/, répare et hydrate la barrière cutanée.

Mais puisque les lésions suintantes peuvent parfois engendrer une surinfection bactérienne, vous pouvez utiliser une autre crème efficace pour la situation.

L’eczéma de contact

Ce type d’eczéma est plutôt classé comme une réaction allergique. L’inflammation de la peau se présente quand celle-ci entre en contact avec un allergène, comme un bijou fantaisie.

Ses causes

Certains métaux peuvent causer l’eczéma de contact. C’est le cas du nickel par exemple. Il faut donc que vous fassiez attention à ce que comportent vos branches de lunettes, vos bijoux et votre téléphone si vous êtes sujet à l’eczéma de contact.

Les ingrédients de certains produits cosmétiques peuvent aussi déclencher cette affection cutanée. Ainsi, vous devez éviter les crèmes et les lotions contenant divers conservateurs et parfums. Faites vraiment attention lorsque vous les choisissez. Pourquoi ne pas utiliser une application qui permet de déterminer les composants nocifs d’un produit ? Vous n’avez qu’à scanner le code-barre de l’article avec votre téléphone, et l’application vous révélera aussitôt les perturbateurs endocriniens et les éléments allergéniques qu’il comporte.

Certaines huiles essentielles, même si elles sont bios, sont aussi à proscrire. Puis, il y a les composants des habits et des chaussures, comme le chrome du cuir et les colles.

La liste des éléments allergéniques qui peuvent induire un eczéma de contact est encore longue. Vous devez seulement faire attention dès qu’un produit commence à vous démanger.

Ses traitements

Là encore, les crèmes à base de cortisone sont efficaces. Bien évidemment, si la peau est sèche, un produit émollient est nécessaire. Ici, vous devez bien faire la différence entre une crème émolliente et une crème hydratante. La première est composée de lipide, comme les céramides. Ce type de gras est essentiel à la restructuration de la barrière cutanée. On peut dire qu’il la nourrit. La seconde est plutôt faite d’un humectant. Cet ingrédient permet d’apporter de l’eau à la peau. Il est donc préférable d’utiliser la crème ou l’émulsion émolliente en cas d’eczéma.

Par ailleurs, il se peut que des rechutes surviennent. Pour les éviter, on vous conseille d’effectuer des tests allergologiques. Cette analyse vous permet d’identifier les responsables de l’eczéma allergique de contact. Une fois que vous avez déterminé ce qui a engendré les allergies, vous pouvez faire plus attention à ce que vous devez porter.

Que se passe-t-il alors durant ce test ? On vous posera des questions sur vos habitudes alimentaires et sur votre quotidien pour trouver ce que vous devez écarter. C’est ce qui garantira votre guérison.

Les mutations

Le variant brésilien est le résultat de deux mutations localisées sur une protéine appelée Spyke. Il s’agit des mutations E484K et N501Y. Face à ces nouvelles mutations du coronavirus, la communauté scientifique est plus que perplexe. Concernant la seconde mutation, elle accroit la transmissibilité du virus de l’ordre de +30 % à +60 %. Les spécialistes suivent donc de près les effets des mutations sur la protéine Spyke, du fait qu’elles peuvent réduire l’efficacité des anticorps face au virus.

L’origine des variants

Tout comme les autres virus, le Sars-Cov-2 doit muter afin de survivre. Pour un virus du Covid-19, la séquence génétique compte environ 30?000 nucléotides. C’est donc en se répliquant que le virus arrive à infecter de nouvelles cellules. Si la plupart des mutations sont plutôt délétères ou silencieuses, sans aucun effet sur le fonctionnement du virus, d’autres peuvent apporter une amélioration au virus. Ces améliorations rendent le virus plus contagieux et capable d’échapper à la défense immunitaire. Les mutations sont entre autres liées à l’histoire naturelle des virus.

La contagiosité

En ayant une mutation en position 501 (N501Y) sur la protéine S, le variant brésilien présente une transmissible de l’ordre de 30 à 60 % par rapport à la souche initiale du Coronavirus. Toutefois, il est un peu moins contagieux que le variant anglais.

La dangerosité

Même jusqu’à cette heure, il reste encore difficile d’estimer la dangerosité du variant brésilien. Mais d’après les premières estimations, la mortalité de ce nouveau variant pourrait être de l’ordre de 10 % à 80 % supérieur, comparée à celle du virus historique. On ne sait pas encore si c’est le variant lui-même ou le service de santé affaibli par la nouvelle vague épidémique qui est responsable de la hausse de mortalité. Mais quoi qu’il en soit, on ne peut pas prendre à la légère la dangerosité de ce variant brésilien.

L’évolution possible

Selon le Conseil scientifique du Covid, le variant brésilien adopte la même stratégie évolutive que les autres virus. En s’appuyant sur les dires des experts, deux cas sont possibles : Soit le virus va épuiser rapidement les possibilités évolutives sur un nombre restreint de positions, notamment sur la protéine S?; soit il va encore évoluer sur un plus long terme à l’aide de nœuds évolutifs entrainant des modifications en permanence. Comme c’est le cas des virus de la grippe.

Quels sont les symptômes ?

Le patient atteint de boulimie est sujet à des crises fréquentes de suralimentation. Une situation contraignante, l’excès d’émotions, le chagrin ou la pression permanente sont des facteurs qui peuvent déclencher l’envie de se nourrir et d’ingurgiter une énorme quantité d’aliments. Au cours de la manifestation, il n’est pas en mesure de contrôler ses envies, et peut frôler les grilles des 2000 kcals rien qu’en quelques minutes. Le patient n’a vraiment conscience de ses actes qu’après s’être satisfait de se gaver. Suite à une crise, il ressent de la culpabilité, rongé par un mélange de sentiments, de honte, et d’abus. Alors pour se sentir plus léger, il va trouver un moyen d’évacuer cette angoisse qu’il a du mal à assumer. En pensant compenser son acte, le patient va tenter de faire ressortir toute la nourriture de son estomac en vomissant. En dehors des crises répétitives, certains individus boulimiques choisissent la pratique du sport, le jeune, ou le recours aux médicaments laxatifs. C’est en procédant de cette manière qu’il va éviter le surpoids.

Une nouvelle forme ?

Aujourd’hui, l’hyperphagie boulimique, une autre forme de la boulimie se munit des mêmes symptômes, avec des crises de suralimentation. Chez un grand nombre de patients, elle engendre un énorme gain de poids, puisqu’à la différence de la boulimie classique, le patient se garde de vomir la nourriture qu’il a volontairement consommée pendant les minutes de crise. Les personnes boulimiques conservent leur poids habituel en se débarrassant la minute d’après des calories contenues dans les aliments. En plus de recourir à cette méthode, elles fournissent un effort intense pour brûler un maximum d’énergie.
La boulimie a depuis des lustres intéressé les chercheurs et scientifiques qui concentrent leurs recherches sur ce phénomène bouleversant. La maladie touche plus la gent féminine, en particulier les plus jeunes. Encore qu’en ce moment, la maladie comme l’anorexie et la boulimie ne concernent majoritairement que les femmes.
Il est néanmoins possible de se soigner de cette maladie grâce à l’aide d’un spécialiste. Un accompagnement sur mesure permettra au patient de se remettre en forme après plusieurs séances de coaching. Individuellement ou en groupe, il aura le choix de partager ou non avec d’autres patients cette expérience pénible qu’il souhaite mettre fin. Par moment, l’intervention d’un psychothérapeute peut s’avérer indispensable dans l’encadrement mental du patient.

Reconnaître les symptômes d’une détresse respiratoire

Que ce soit chez l’enfant ou l’adulte, les principaux symptômes d’une insuffisance respiratoire sévère sont la dyspnée, la respiration flottante, l’hypotension, l’angoisse, la crainte ou le panique. En effet, l’état initial du patient influe beaucoup sur la gravité du syndrome de détresse respiratoire. Toutefois, la majorité des malades ont des séquelles à long terme. Comme mentionné ci-dessus, si l’un des symptômes se manifeste, il faut une prise en charge immédiate.

Quelles sont les causes d’une insuffisance respiratoire ?

Cette réaction a plusieurs causes différentes, mais dans la plupart des cas, cela est dû à l’inhalation de liquide gastrique et la pneumonie. Rarement, ce sont à cause d’un incendie, de l’inhalation de gaz toxique, d’une noyade ou d’une contusion pulmonaire. D’autres facteurs peuvent également entraîner une détresse respiratoire, comme l’embolie graisseuse, l’alcool, le tabac, la pancréatite et l’acidose. Puis, il y a les prédispositions génétiques. L’insuffisance respiratoire se produit en effet lorsque la membrane alvéolo-capillaire est agressée.

Comment traiter le syndrome de la détresse respiratoire ?

Lorsqu’un patient présente les symptômes d’une insuffisance respiratoire aiguë, installez-le d’abord en position semi-assise. Veillez à ce que les vêtements soient desserrés. Demandez-lui de se pencher un peu vers l’avant pour mieux respirer. S’il prend des médicaments, aidez-le. Si la crise devient de plus en plus grave et ne s’arrête pas, il faudra appeler les secours. Ces derniers vont rapidement faire une oxygénation. Ensuite, il faudra le réanimer à l’aide d’une ventilation mécanique.

Comment soulager les douleurs de la goutte ?

En cas d’accès goutteux, le traitement consiste en premier lieu à mettre l’articulation atteinte au repos. Si c’est au niveau du pied, vous ne devez pas faire de la marche et encore moins courir, si c’est à la main, il faut arrêter de vous servir de votre ordinateur ou de faire la vaisselle à la main. Si la goutte se situe au poignet, la pose d’une orthèse peut vous soulager.

Si la douleur est trop forte, posez de la glace sur la zone atteinte, glace à mettre dans un sac en plastique ou dans un linge propre. Renouvelez l’opération 4 fois dans la journée si la douleur persiste.

Quel traitement pour la goutte ?

Souvent, la goutte ne peut être véritablement prise en charge que via un traitement médicamenteux. Trois options se présentent : la colchicine, des anti-inflammatoires non stéroïdiens ou dans des cas très rares, des corticoïdes. Le traitement de fond de la goutte vise à maintenir le taux d’acide urique dans le sang sous une valeur seuil. Mais quel que soit le traitement prescrit, il faut que ce soit accompagné d’un changement de l’hygiène de vie du malade pour qu’il soit vraiment efficace.

Peut-être que le patient doit perdre du poids, pratiquer une activité physique et diminuer ou éliminer la consommation de boisson alcoolisée et les aliments gras.

Petit rappel sur l’hypothyroïdie

On parle d’hypothyroïdie lorsque la glande thyroïde ne produit pas assez d’hormones thyroïdiennes pour faire fonctionner normalement l’organisme. Comment savoir si l’on est victime de cette maladie ? Les symptômes peuvent se traduire par de la fatigue, une prise de poids, des crampes, des douleurs articulaires, etc. La personne peut aussi présenter un gonflement à la base du cou. Le seul moyen d’en être assuré est de voir un médecin et de faire des analyses.

À noter que l’hypothyroïdie peut se déclarer entre 20 et 40 ans. Attention, elle peut aussi toucher les seniors et les enfants.

Les hormones thyroïdiennes de remplacement

Le plus souvent, on prescrit, pour traiter l’hypothyroïdie, la prise d’une hormone de synthèse appelée thyroxine. Celle-ci se présente sous forme de lévothyroxine sodique en comprimés. En pharmacie, c’est soit Levothyroid, Levothyrox, Synthroid ou Novothyral. Quelles sont les actions de ce type de médicaments ? Ils ne guérissent pas la maladie, mais ils permettent d’en corriger les manifestations. En d’autres termes, ils agissent sur les symptômes. Chez les adultes, les symptômes sont corrigés en quelques semaines, mais, chez les seniors, cela peut prendre plus de temps, plusieurs mois parfois. En effet, en raison du grand âge, les doses sont à augmenter petit à petit pour ne pas agresser le cœur. C’est très important, d’autant plus que ces hormones de synthèse sont à prendre à vie.

Le suivi médical

Puisque le traitement est à prendre à vie, le médecin traitant doit effectuer un suivi médical régulier de ses patients. Normalement, le premier rendez-vous se passe quelques mois après le début du traitement. Le suivi médical comprend un test sanguin. Il permet de vérifier notamment si le traitement est adapté, si l’organisme réagit bien ou s’il faut rectifier les doses du médicament. À noter qu’avec l’âge, en cas de grossesse, et suivant l’évolution de la maladie, les besoins en hormones peuvent changer. Il est donc utile que le médecin suive de près l’état de ses patients.

La prise d’hormones : de quelle manière ?

Les médicaments sont à prendre chaque jour, exactement à la même heure. Puisque le but est d’apporter suffisamment d’hormones à l’organisme, il faut veiller à prendre les médicaments de la même manière. Ceci veut dire que si le patient a commencé par en prendre sans nourriture, il doit continuer de cette façon. S’il en a pris au début avec de la nourriture, il faut faire de même les jours suivants. Attention, il faut ne jamais prendre ses médicaments avec du lait de soja, du jus d’orange ou du lait de vache, mais seulement avec de l’eau.

Comment se manifeste le cancer du sein ?

D’après l’OMS (Organisation mondiale de la santé), le cancer du sein comptabilise près de 1,38 million de nouveaux cas par an et environ 458 000 décès. Il s’agit de la tumeur la plus meurtrière chez la femme. Jusqu’ici, on ne connait pas les causes exactes de cette maladie. En réalité, elle est multifactorielle. Alors que les antécédents familiaux seraient responsables à 10% de son développement, les facteurs environnementaux et une mauvaise hygiène de vie sont aussi particulièrement cités. L’exposition aux substances chimiques et toxiques, la consommation excessive d’alcool, la sédentarité et l’obésité peuvent augmenter les risques de survenue du cancer mammaire.

Quoi qu’il en soit, lorsque la tumeur se développe ou atteint un stade important, elle laisse apparaitre des signes souvent évidents. Le premier étant la présence d’une boule ou d’une bosse au sein. Il s’agit plus précisément d’une masse dure immobile que l’on perçoit au toucher. Par ailleurs, la rétraction du mamelon ainsi que l’épaississement de la peau au niveau de la poitrine doivent inciter rapidement une femme à consulter un médecin. Afin de confirmer ou démentir ses soupçons, la patiente devra subir une série d’examens.

À quel plan de traitement s’attendre pour soigner le cancer du sein ? 

Aujourd’hui, des cliniques privées ainsi que la plupart des centres publics prennent en charge le diagnostic ainsi que le traitement du cancer mammaire. Jusqu’ici, la mammographie est l’examen de référence pour diagnostiquer la tumeur. D’ailleurs, à titre de prévention, les médecins recommandent de réaliser une autopalpation et de faire une mammographie tous les deux ans pour détecter rapidement la maladie. En effet, plus celle-ci est dépistée tôt, plus elle sera facile à traiter. Cela réduira considérablement les risques de décès. Selon le cas, cette opération peut être complétée par une échographie.

Cette première démarche permettra d’affirmer la présence du cancer du sein et d’en déterminer le stade. Ainsi, le cancérologue définira un plan de traitement adapté à la patiente. Les soins seront décidés en fonction de l’agressivité de la tumeur. Mais en général, la chirurgie constitue un passage obligé pour stopper la propagation des cellules cancéreuses. Par ailleurs, afin de renforcer le système immunitaire et stimuler la production de globules blancs, les spécialistes peuvent aussi recourir à l’immunothérapie. Dans ce registre, l’approche Beljanski peut être associée à la méthode classique. En savoir plus sur beljanski.info.

Fabriquées à base d’extraits naturels, les gélules permettent de se prémunir contre les déficiences immunitaires et limitent les effets secondaires des traitements conventionnels. Ils réduisent également les risques de récidive.

Des maladies transmises par des animaux jugés « inoffensifs »

Les animaux de compagnie sont les plus incriminés, car ce sont ceux qui sont les plus en contact avec l’Homme. Les chiens et chats sont source de pathologies connues comme la toxoplasmose ou la toxocarose. Les rongeurs peuvent aussi être à l’origine de maladies, mais souvent bénins si l’animal est sain. Les oiseaux, ces innocents animaux, sont porteurs de maladies. Ce sont surtout les déjections qui sont mauvaises. Il n’est pas nécessaire d’en avoir touché pour s’exposer au risque de contamination. La fiente sèche, devient particules, et se propage grâce au vent, en dispersant allègrement ses microbes.

Quelles solutions préconiser ?

On ne le répète pas assez souvent, il est interdit de se toucher le visage, et surtout de manger, après avoir caressé un animal, sans s’être lavé les mains. Il en va de la santé de chacun. Ensuite, même si certains trouvent cela mignon, il est interdit de dormir avec son animal de compagnie. Vous vous exposez déjà suffisamment aux risques en jouant avec eux dans la journée. Laissez votre corps se reposer un peu la nuit. De même pour le léchage de visage. Apprenez à votre animal à ne pas le faire, surtout à des enfants. Eloigner l’animal de la cuisine est une bonne précaution pour préserver la nourriture. En fait ce qu’il faut, c’est être particulièrement scrupuleux concernant l’hygiène. Avoir un animal de compagnie, c’est avoir des responsabilités, non seulement envers l’animal, mais surtout envers soi-même.

Les causes de l’infection urinaire

Les urines véhiculent une multitude de germes et l’organisme se défend en vidant la vessie. C’est pour cela qu’il est important de boire beaucoup d’eau par jour pour garantir un bon débit urinaire. Chez la femme, l’infection est souvent liée à l’insuffisance de boissons. Elle peut aussi provenir du fait de s’essuyer de l’arrière vers l’avant après avoir fait les besoins. Les femmes qui n’ont pas l’habitude d’uriner après un rapport sexuel sont aussi susceptibles d’être atteintes d’une infection urinaire, car les microbes qui sont entrés dans l’urètre y sont restés. Puis, il y a aussi la constipation qui favorise la stagnation de matières excrémentielles dans le rectum et qui peut être une source d’infestation. L’infection urinaire peut aussi être due par une malformation de l’appareil urinaire elle-même. Chez les hommes, l’infection urinaire peut être causée par plusieurs rapports sexuels non protégés ou par la présence d’une hyperplasie de la prostate qui serre l’urètre et génère une stagnation de l’urine dans la vessie. Enfin, tout obstacle contre l’écoulement de l’urine et certains dysfonctionnements de la vessie peuvent engendrer une infection urinaire.

Les symptômes de l’infection urinaire

L’infection urinaire se manifeste habituellement par une fièvre isolée, des brûlures lors des mictions, des nécessités d’uriner fréquemment et des troubles de l’urine, par exemple l’apparition du sang dans l’urine ou le dégagement de mauvaise odeur. Elle peut aussi se traduire par une douleur dans le petit bassin. À noter que l’infection urinaire peut engendrer de nombreux risques. En effet, une infection urinaire basse peut évoluer en une infection haute touchant le rein. Le risque extrême est l’insuffisance rénale terminale qui exige l’hémodialyse ou la greffe rénale. L’infection urinaire est aussi dangereuse pour les femmes enceintes, car il peut présenter des risques sur la mère et le fœtus.

Les traitements des infections urinaires

La base du traitement de l’infection urinaire est l’antibiothérapie et l’augmentation de la consommation d’eau. Les médecins recommandent souvent des antibiotiques de la famille des quinolones ou des pénicillines. Dans le cas d’une infection urinaire due par un obstacle, une opération de drainage est généralement recommandée.